LE DÉMANTÈLEMENT

Dimanche le 9 février 16 h 30 et 19 h 30

Lundi le 10février 17h et 19 h 30

LE DÉMANTÈLEMENT

Le Démantelement Demantelement_02

RÉALISATION : Sébastien Pilote PAYS : Canada (Québec) ANNÉE : 2013 DURÉE : 111 min VISA : Général
INTERPRÉTATION : Gabriel Arcand, Lucie Laurier, Sophie Desmarais, Gilles Renaud, Johanne-Marie Tremblay, Pierre-Luc Brillant, Dominique Leduc et Gabriel Tremblay

RÉSUMÉ Gaby a une ferme sur laquelle il élève des agneaux : La Ferme Gagnon et fils. Mais il n’a pas de fils. Il a deux filles qu’il a élevées comme des princesses et qui habitent loin dans la grande ville. Un jour, l’aînée lui demande de l’aider financièrement pour éviter de perdre sa maison. Gaby, chez qui le sentiment de paternité s’est développé jusqu’à la déraison, décide de démanteler la ferme. Il vend tout — la maison, le troupeau et la terre familiale — pour s’en aller vivre dans la ville d’à côté dans un petit appartement.

POINTS DE VUE « Un beau film d’auteur, au rythme lent et aux images criantes de vérité. » – Éric Moreault, Le Soleil
« Quant à l’immense Gabriel Arcand, disons simplement que son jeu tout en finesse, tout en subtilité, relève du grand art. » – Marc-André Lussier, La Presse

NOTES Présenté lors du dernier Festival de Cannes à la Semaine de la critique où il a remporté le Prix SACD, pour son scénario. Prix de la Fédération internationale de la presse cinématographique (FIPRESCI) et Prix d’interprétation masculine (décerné à Gabriel Arcand) au Festival du film de Turin 2013.

SITE ALLOCINÉ

Le réalisateur, résident du Lac-Saint-Jean,  a ancré son film dans son milieu. Les figurants qui participent à l’encan du démantèlement sont des fermiers du coin. L’acteur principal, Gabriel Arcand, a travaillé avec deux éleveurs pour interpréter ce rôle avec naturel.

« Sans rien dire et encore moins montrer. Tout se joue dans le regard du fabuleux comédien qu’est Gabriel Arcand. Mais aussi sur celui que pose sur lui son réalisateur : intense, mais sec, dénué de la moindre complaisance, ni sensiblerie. On a vraiment la sensation – comme dans les westerns et les films noirs de jadis – de voir un homme accomplir, contre son gré et l’avis général, ce qu’il croit être, à tort ou à raison, son devoir. La fatalité est en marche. » (Télérama)

En collaboration avec Librairie Vénus et Irvin Pelletier, Parti Québécois

 

 

Laisser un commentaire

Votre adresse de messagerie ne sera pas publiée.

Vous pouvez utiliser ces balises et attributs HTML : <a href="" title=""> <abbr title=""> <acronym title=""> <b> <blockquote cite=""> <cite> <code> <del datetime=""> <em> <i> <q cite=""> <strike> <strong>